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LA VIE COMMUNAUTAIRE

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SOUVENIR DU 125e ANNIVERSAIRE

SOUVENIR DU RALLYE PATRIMONIAL DU 125e ANNIVERSAIRE
  • Au no civique 2608, on pouvait voir jadis des enseignes d’entrepreneur électricien, de concessionnaire De Laval et une autre d’importance capitale, laquelle ?

Banque Canadienne Nationale
  • Le voisin immédiat (aujourd’hui disparu) empochait le résidu de fabrication d’une bonne bière. Quel était ce résidu ?

La drèche
  • En passant devant le no 2638 au début des années 70, vous auriez vu les premiers bureaux de Po-Bo-Ha Inc., l’ancêtre de Hamel Construction.

  • Juste après le 2650 et avant la rivière, un témoin restant de l’incendie qui a détruit une manufacture fondée en 1942 par Lucien Bernier. Elle renaît de ses cendres dans votre dos, grâce entre autres à un comité de citoyens. Quel est le nom de cette manufacture ?

Cercueils Bernier Inc.
  • Arrêtez-vous au bout du trottoir, faites demi-tour. Jusqu’au milieu des années 60, sous le soleil de 9 ou 10 h, vous seriez dans son ombre. De quoi s’agit-il ?

La tour à eau
  • La tour à eau se situerait aujourd’hui au coin des rues Principale et Bernier. Quel a été le premier nom de cette rue ?

Rue du Comité
  • Au 2649, malgré son horaire de travail de 8 h à 18 h, du lundi au vendredi, il était disponible pour les urgences 24 h sur 24, 7 jours sur 7. Disciple d’Hippocrate, quel est son nom ?

Dr Ovila Carrier
  • Au 2619, relaxons un peu. « Sirotons » un Pepsi, un Coke ou une Orange Crush assis sur la galerie du restaurant chez Pierre Abel (détruit par le feu le 30 novembre 1980). Quelques décennies plus tôt, sur cette même galerie, vous auriez entendu les cris de la foule amassée autour du ring pour encourager les lutteurs.

  • En face de la Salle municipale, plusieurs services et commerces étaient disponibles chez Cyrice Beaudet. Vous pouviez patiner (l’hiver), vous faire couper les cheveux, vous restaurer et vous procurer des électro-ménagers, systèmes audios, téléviseurs.

  • Pièce majeure dans l’évolution d’une paroisse, le magasin général occupait un emplacement stratégique. Ils n’étaient pas les premiers, mais ils se faisaient face dans l’opposition comme au pouvoir. Quels étaient les noms de ces deux commerces ?

J.E. Laquerre et Poulin et Fils
  • La route Leclerc fait partie de façon active aux activités économiques de St-Édouard. Au fil des années, plusieurs commerces y ont défilé. Il y avait entre autres le Garage Lucien Lemay qui offrait un service de transport « ordinaire » et un autre un peu « particulier ». De quel moyen de transport s’agit-il ?

Un Snow
  • À presque chaque porte de la route Leclerc se trouvait un commerce. Pouvez-vous nous dire qui étaient les propriétaires de ces commerces ?

2 garages: Simon Hamel, Raymond Castonguay, Lucien Lemay, Yves Coulombe, Simon Trépanier
Transport scolaire : Émilius Lemay
Transport général : Wilfrid Martin, Transport Laliberté Lingerie : Murielle Lemay
  • Aujourd’hui, je suis utilisée comme entrepôt. Autrefois, après chaque élection et selon la « couleur » du gouvernement, je pouvais mettre en marche ma production de tuyaux de béton.

  • À quelle adresse civique se situait l’ancien Chalet des sports de l’association des loisirs ?

100 rue de l’École
  • J’étais à la direction de l’école Du Chêne à son ouverture en 1962, qui suis-je ?

Alphédor Lachance
  • Tout en continuant votre parcours, vous passez devant la dernière résidence des sœurs de la Charité. Au coin des rues École et Hamel. Qui sont les deux dernières religieuses à y avoir demeuré?

Sœur Irène Couture et Sœur Marie-Marthe Villeneuve
  • En 1948, vous seriez dans un champ à quelques pas d’une école destinée aux garçons seulement. Quel est le numéro civique?

133 et 135
  • Le nom du HLM est un acronyme des noms ou prénoms de ses trois bâtisseurs. Nommez-les :

Castonguay, Télesphore, Laroche
  • Maintenant transformé en logements d’habitation, l’ancien hospice qui accueillait malades et infirmes de la paroisse était administré par quelle congrégation de religieuses ?

Les Sœurs de la Charité
  • Lorsqu’ils ont construit l’épicerie actuelle, on m’a déménagé. Qui suis-je ?

L’ancien garage du couvent
  • Un signe particulier remémore la bénédiction de l’église à la fin de sa construction.

Une pierre a été marquée d’une croix du côté gauche de sa façade.
  • Qui a été le premier curé de la paroisse?

Édouard Faucher
  • En passant devant la plus récente Caisse Populaire inaugurée le 20 avril 1975, vous arrivez chez Florian Rousseau, fils de Charles. À l’époque, à l’arrière de sa résidence, il y avait un bâtiment qui avait été construit à partir d’une ancienne chapelle. À l’intérieur, une machine facilitait la vie des cultivateurs de l’époque. De quelle machine s’agit-il ?

Une moulange
  • Cet homme complétait le travail de Florian en fabriquant des portes, fenêtres, meubles, etc. Quelle lettre de la rose des vents ne se retrouve pas dans son nom ?

Émilien Guimond
  • Au 2433, pouvez-vous donner le nom du commerce automobile qui a fermé ses portes il y a quelques années et dont M. Gilles Lemay était propriétaire ?

Garage central
  • De cet endroit, en regardant du côté sud, pouvez-vous nommer, qui a été pendant plusieurs années, le propriétaire du poteau de barbier aujourd’hui disparu?

Marcel Blanchet
  • Du même endroit en regardant du côté nord de la rue, trouvez les trois commerces qui existaient à l’époque, remplacés aujourd’hui par les commerces suivants :
    Bois de plancher PG
    Cercueils St-Onge Caskets Reg’d (Thanal)
    Model Entrepôt
    VSE (Lotbi Jeans Le Culottier)
    Restaurant Le Bois Clair

Restaurant-Bar La Solitude
  • Repassez le Bras des Boucher, sur votre droite un peu en retrait, il y avait une tannerie construite par Honoré Beaudet (1901). On y tannait la peau de plusieurs espèces d’animaux pour fabriquer divers objets utilitaires, nommez trois de ces animaux.

Bœuf, veau, mouton, chevreuil
  • Je suis une belle Victorienne au charme suranné, j’ai cent ans cette année. En effet c’est en 1913 qu’Albéric Bernier m’a construite. Quel est mon no civique ?

2482
  • Aujourd’hui en 2013, nous sommes à l’ère d’Internet et du cyberespace, mais en 1919 un nouveau moyen de communication apparaît à St-Édouard. Le « standard » sera installé dans la maison d’Eugène Rousseau au no civique 2490 en 1942. De quel moyen de communication s’agit-il?

Le téléphone
  • Le no 2496 a abrité plusieurs commerces : une pension, un restaurant et plusieurs épiceries. Pouvez-vous nommer deux des épiciers ?

Charles Leclerc, Ernest Côté, Charles Daigle, Robert St-Onge
  • Dans la maison voisine, aujourd’hui un professionnel nous aide à préparer nos papiers en prévision de notre mort. Autrefois en ce même endroit, on nous préparait pour notre dernière apparition publique. Quelles sont ces deux professions liées l’une à l’autre ?

Notaire et croque-mort
  • Les deux principaux locataires de cet immeuble offraient des services de communication. Lesquelles ?

La poste et le téléphone
  • En demeurant sur la rue Principale, face au nord, vous avez sur votre gauche le premier immeuble qui a commencé à offrir des services d’hôtellerie. Quel est le nom de famille de ces premiers bâtisseurs ?

Les Brown
  • À l’arrière de l’hôtel, les stalles (stationnement pour les chevaux) se sont transformées en un autre service public important. Les volontaires s’y rendaient à la hâte et en repartaient aussitôt, en espérant arriver à temps. Quel était ce service ?

Le service incendie
  • Quel fut le premier commerce qu’a abrité le 428 avant les différentes transformations : bars, reliure, etc.

La cordonnerie
  • Avancez de quelques pas, vous vous trouvez en face de la boutique qui a été fondée en 1895 par Charles Jacques, ferblantier-couvreur. Son fils Joseph ajoute un nouveau service pour répondre au besoin des années 30, lequel ?

Forgeron-voiturier
  • Du même côté de la rue, au no civique 104, derrière la maison rose, la bâtisse qui servait d’écurie publique fut remplacée en 1948 par cet entrepôt-magasin qui vendait quoi ?

Des réfrigérateurs, des congélateurs, des tracteurs, de l’équipement agricole, des scies à chaînes
  • En vous tournant du côté nord de la rue Principale au no 2548, en 1870, un bâtiment était accolé à la maison et c’était le premier magasin général. On y vendait de tout : ferronnerie, graines et semences, tissu à la verge, vaisselle, etc. En quelle année a-t-il été démoli ?

1968
  • En poursuivant votre marche, à votre droite, vous apercevez le bureau de poste qui a ouvert ses portes en 1969, vous souvenez-vous du nom de la maîtresse de poste à cette époque ?

Aline Bernier. Elle est restée en poste jusqu’en 1985
  • Au 2555, pouvez-vous nommer les deux derniers couples propriétaires du dépanneur avant sa transformation en salon d’esthétique ?

M. Robert Blais et Mme Lucienne Leclerc
M. Gilles Laliberté et Mme Jacqueline Chayer
  • Le 2561 a été la première maison à abriter un mouvement corporatif encore actif aujourd’hui. Lequel ?

Caisse populaire
  • Pour construire la Maison des Aînés, M. et Mme Georges-Émile Leclerc ont dû démolir la maison de M. Rémi Demers qui abritait autrefois quel service ?

Banque provinciale du Canada
Maison d’accueil pour handicapés
  • À quel no civique iriez-vous frapper pour avoir des nouvelles d’un ancien maréchal-ferrant nommé Alexandre ?

2572
  • Sur le coin de la rue, tout près du point d’arrivée. Imaginez la bonne odeur du pain frais et chaud. Plusieurs propriétaires se sont succédé depuis Maurice Rhéaume (1918). Qui a été le dernier propriétaire avant son acquisition et sa fermeture par le groupe Samson ?

Simon Pleau

2485, rue Principale
Saint-Édouard-de-Lotbinière
Québec  G0S 1Y0

Tél.: 418 796-2971
Urgence : 418 796-2971 #700
info@st-edouard.com

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